Jouissant du navré désordre, je larmoyai sur les cendres de mon âne.
Terrassé, fendu en son lard, il semblait juter de sa propre mort,
bouillonnant à même le sable chaud.
Cuit; comme un porc.
Lié à son souffle cessant,
je m’affaissai.
A mon séant chancelant, me retrouve assis dans mon foutre,
las.